Inspiré par le cinéma de Gregg Araki et de Gus Van Sant, Jules Magistry dessine depuis son enfance. “La violence de l’adolescence, de la banlieue pavillonnaire, les années 1990, la pop culture, les garçons, beaucoup”, résume-t-il.
Dans son art “gay” et “mélancolique”, il questionne la virilité, dépeint ses idoles (tirées de ses films favoris) et imagine des scènes violentes, qu’il sublime à travers une palette teintée des trois couleurs primaires. Le temps d’un One Minute Portrait, il nous raconte son monde.